13, Rue René Laennec Coignieres 78310

0130492518

dao@dtah.fr

Maison enterrée : les avantages

maison toiture

Aujourd’hui, de plus en plus de ménages optent pour une maison enterrée. Celle-ci fait partie des logements dits écologiques qui répondent parfaitement aux besoins actuels. C’est aussi une maison naturelle qui s’intègre tout à fait à l’environnement où elle se trouve. Les avantages d’une telle habitation sont nombreux. Sa construction peut-être de type bioclimatique et faire économiser de l’énergie. Avant de vous décider à créer une maison enterrée, il serait prudent d’analyser sa faisabilité afin de mesurer les avantages par rapport aux inconvénients. Comment appelle-t-on une maison sous terre ? Maison souterraine, quels avantages ? Les maisons enterrées existent sous différents styles. Authentiques, contemporains ou insolites, les modèles peuvent être personnalisés suivant les commandes. Implanté sous terre, ce type de logement fait preuve d’une parfaite isolation. Il est très prisé dans les pays froids comme la Suède ou le Canada. En effet, la construction fait profiter de la masse thermique procurée naturellement par la terre. En été comme en hiver, la température de la maison reste agréable toute l’année et réaliser une bonne économie d’énergie. L’installation de panneaux solaires peut être une option pour renforcer la performance du chauffage. Une maison enterrée offre également une meilleure sécurité contre les tornades ou les ouragans. Souvent, un tel logement est doté d’un système de récupération d’eau assurant l’alimentation de tous les équipements tels que les toilettes, les lavabos les douches. Par ailleurs, une maison en enterrée est parfaite pour la mise en place d’un toi terrasse. Ce dernier peut abriter un joli jardin et donner du cachet au logis. Une aire de jeu peut-être aménagée pour ajouter de l’attrait à la maison. Toutefois, une maison souterraine peut aussi comporter quelques inconvénients à ne pas négliger. Sans le placement d’un système bien pensé, la luminosité peut être moins efficace. Un bon dispositif d’aération est nécessaire pour éviter les risques d’humidité. De plus, la réalisation d’une maison enterrée peut être plus complexe par rapport à celle d’un logement conventionnel. Certaines communes interdisent ce style de maison, car il ne s’intègre pas aux modèles inscrits par le plan local d’urbanisme. Comment concevoir une maison bioclimatique ? Maison passive bioclimatique Comme il est dit plus haut, une maison enterrée est idéale pour un aménagement bioclimatique. Généralement, il s’agit de créer une maison passive qui s’adapte à l’environnement qui l’entoure pour économiser de l’énergie. La construction est réalisée à partir de matériaux écologiques. Elle est établie suivant l’analyse du taux d’humidité et de l’ensoleillement de la localité où elle est implantée. Pour être qualifié bioclimatique, une maison doit répondre à quelques critères. Pour commencer, elle doit se trouver dans une zone peu influencée par les intempéries. Le logement doit donc offrir des conditions thermiques agréables et d’une bonne température à l’intérieur. Une maison enterrée répond parfaitement à ces critères. Tout comme l’exige la maison souterraine, un habitat bioclimatique doit aussi être bien isolé et ventilé pour optimiser d’arrivée d’air extérieur. Le dispositif utilisé doit être de type renouvelable. Les panneaux solaires, la géométrie sont à privilégier. Si vous décidez de réaliser une maison enterrée bioclimatique ou maison organique, ce choix vous fait bénéficier de nombreux profits. C’est la meilleure façon de participer au respect de l’environnement. C’est une belle occasion pour vivre dans un logement sain. Son orientation étant bien réfléchie, les habitants jouissent d’une habitation aérée avec une arrivée de la lumière naturelle optimisée. Comment faire une maison enterrée ? Cave enterrée maison Avant de choisir la construction d’une maison enterrée, il convient d’examiner sa faisabilité. Une étude de l’état du terrain concerné est essentielle avant le commencement des tâches. Cette étape comprend : –         La réalisation d’une topographie du terrain, –         L’analyse de son potentiel de renforcement et de sa force portante, –         Un examen de l’ensoleillement, de la température locale et du climat, –         Une étude des précipitations, du type de végétation qui y pousse –         L’analyse du terrain comprend aussi l’examen de la nappe phréatique. Le résultat permettra de déterminer si le terrain sera adapté pour accueillir une maison enterrée semi-enterrée ou encore si le bâtiment pourra se doter d’une cave. En plus du bon choix sur le terrain d’une maison d’architecte, d’autres éléments sont aussi à prendre en compte avant le lancement d’un projet de réalisation d’une maison enterrée avec une cave. En amont, il faut faire attention au confort du futur logement. Pensez à vérifier le vis-à-vis avec le voisinage. Examinez si le ciel bleu peut être vu de l’intérieur. Inspectez la présence ou non à proximité d’un réseau électrique. Pourquoi construire sous terre ? Maison sous terre ou maison semi-enterrée Rien de tel d’une maison autonome construite sous terre pour être en possession d’une habitation unique. Le résultat est en accord parfait avec l’environnement. La conception d’une maison semi-enterrée est une bonne alternative pour limiter les inconvénients d’un logement enterré. Pour être classé maison semi-enterrée, un logement doit comporter une partie des pièces à vivre en sous-sol. Ainsi, une maison dont seule la cave est enterrée ne peut pas être considérée comme étant un modèle semi-enterré. Une maison semi-enterrée bioclimatique est préférable pour garantir le bien-être de ses habitants. Afin que le bâtiment s’intègre facilement au terrain, il fait que ce dernier soit en pente. Idéalement, faut une orientation sud pour profiter d’un meilleur ensoleillement. Pour répondre aux critères écologiques exigés pour une maison bioclimatique, une habitation semi-enterrée doit s’équiper de panneaux solaires. Souvent, une maison semi-enterrée est aussi un logement passif. C’est-à-dire que de l’énergie verte est utilisée pour répondre aux besoins des habitants. Ce type de maison se démarque par son économie d’énergie et son caractère écologique. Comment construire une maison enterrée ? Maison container enterrée ou cabane enterrée La construction d’une maison enterrée ne s’improvise pas. C’est un chantier particulier que seul un constructeur habilité sera à même de diriger et de mener à terme. Pour édifier les murs, les spécialistes en matière de maisons enterrées privilégient la plupart du temps le béton armé pour sa robustesse. Afin d’anticiper le poids de la terre et assurer l’accueil de la future construction, l’expert jette de la

Comment calculer les surfaces

Comment calculer les surfaces ? Exemples et méthode de calcul de surfaces (maison, construction, bâtiment, etc.) Exemple de calcule de surface plancher Exemple de calcule surface Emprise au Sol Exemple de calcule pour surface cadastrale du terrain Exemple de calcule surface Coefficient d’Occupation des Sols (COS) Exemple de calcule de surface taxable Surface Hors Œuvre Brute / NETTE (SHOB, SHON) DEVIS RAPIDE ET GRATUIT Dans le domaine du bâtiment, plusieurs types de surfaces sont utilisés pour décrire et mesurer les espaces d’une construction. Voici les principaux types de surfaces : Voici une liste  des différentes surfaces dans le bâtiment et de l’urbanisme : Surface de plancher : La surface totale des planchers de tous les niveaux d’un bâtiment, mesurée au nu intérieur des murs et cloisons. Surface taxable : La surface de plancher prise en compte pour le calcul de la taxe d’aménagement et autres taxes liées à la construction. Surface habitable : La surface de plancher construite, après déduction des surfaces occupées par les murs, cloisons, marches et cages d’escaliers, gaines, embrasures de portes et fenêtres. Emprise au sol : La projection verticale du volume de la construction, tous niveaux confondus, sur la surface du terrain. Surface utile : La somme des surfaces de plancher de tous les niveaux, hors surfaces non utilisables telles que combles non aménageables, caves, sous-sols, remises, garages, terrasses, etc. Coefficient d’emprise au sol (CES) : Le rapport entre l’emprise au sol d’une construction et la superficie du terrain sur lequel elle est édifiée. Il est utilisé pour déterminer la densité maximale autorisée pour une construction sur un terrain donné. Surface de pleine terre : La surface du sol naturellement perméable, permettant l’infiltration des eaux et la croissance de la végétation. Surface d’espace vert ou végétalisé : La surface occupée par les espaces verts, jardins, parcs, ou autres espaces végétalisés, contribuant à la qualité paysagère et environnementale d’un site. Coefficient de biotope (CB) : Indicateur utilisé pour mesurer la capacité d’un terrain à accueillir la biodiversité. Il est défini comme le rapport entre la surface de pleine terre et la surface totale du terrain. Surface vitrée : La surface des baies vitrées, fenêtres et autres ouvertures vitrées d’une construction. Surface thermique (SRT) : La surface de référence thermique d’un bâtiment, utilisée pour le calcul des déperditions thermiques et les besoins en énergie pour le chauffage. Surface imperméabilisée : La surface du sol rendue imperméable par la construction ou l’installation d’éléments tels que bâtiments, voiries, parkings, etc., empêchant l’infiltration naturelle des eaux de pluie. Les étapes à suivre pour construire une maison Surface de plancher et autorisation de construire  Voici la récapitulation des formalités à effectuer en fonction de la grandeur de la surface de plancher à créer lors de la réalisation d’un projet.   SURFACE DE PLANCHER à construire RÉGIME APPLICABLE CONSTRUCTION NOUVELLE (comprendre : le fait de construire un ouvrage indépendant d’un autre) + de 5 m², inférieure ou égale à 20 m² DÉCLARATION PRÉALABLE (R.421-9 du code de l’urbanisme) Plus de 20 m² PERMIS DE CONSTRUIRE (R.421-1 du code de l’urbanisme) TRAVAUX SUR CONSTRUCTION EXISTANTE (comprendre : ouvrage au contact d’un autre régulièrement édifié au moment du dépôt de la demande) Terrain situé en dehors des zones urbaines identifiées par le POS / PLU Inférieure ou égale à 20 m² DÉCLARATION PRÉALABLE (R.421-17 du code de l’urbanisme) Supérieure à 20 m2 PERMIS DE CONSTRUIRE (R.421-14 du code de l’urbanisme) Terrain situé dans une zone urbaine identifiée par un POS/PLU Inférieure ou égale à 40 m² DÉCLARATION PRÉALABLE (R.421-17 du code de l’urbanisme) Supérieure à 40 m2 PERMIS DE CONSTRUIRE (R.421-14 du code de l’urbanisme) Quelle que soit la localisation du terrain Création d’une surface de plancher (ou d’une emprise au sol) comprise entre 20 m2 et 40 m2 inclus et ayant effet de porter les surfaces de plancher totales du bâtiment à plus de 170 m² après travaux PERMIS DE CONSTRUIRE – recours obligatoire à un architecte (R.421-14 du code de l’urbanisme et R.431-2) Dans certains cas, une autorisation de construire est obligatoire même si le projet ne prévoit pas la création d’une surface de plancher. Les-voici : travaux de ravalement et de pose de clôture (sous certaines conditions) ; travaux à réaliser dans un secteur protégé (par exemple la sauvegarde du patrimoine national) ; travaux ayant pour effet de modifier l’aspect extérieur d’un bâtiment. Sachez que la notion de surface de plancher est inséparable à celle d’emprise au sol. Cette dernière encadre aussi les démarches d’urbanisme à effectuer. Même si la surface de plancher est moins de 5 m2, tout projet de construction prévoyant de créer une emprise au sol de plus de 5 m2 doit se soumettre au régime des autorisations de construire. En outre, bien que la surface de plancher à créer soit 20 m2 ou moins, la création d’une extension de plus de 20 m2 d’emprise au sol ne peut se réaliser qu’avec un permis de construire. Depuis le 1er mars 2012, les notions de Surface hors œuvre brute (SHOB) et de Surface hors œuvre nette (SHON) sont remplacées par la surface de plancher (décret du 29 décembre 2011). Déclaration de la surface de plancher : Est-ce Obligatoire ? Oui, vous devez déclarer la surface de plancher dans le formulaire de l’autorisation de construire.Vous trouvez dans ce tableau les détails de destination des constructions et des surfaces :   Application de la surface de plancher aux ouvrages couverts et clos  La notion de surface de plancher s’applique aux ouvrages couverts et clos (sous réserve des déductions prévues par le Code de l’urbanisme). En effet, ne constituent pas de surface de plancher les constructions nouvelles (ou leurs parties nouvelles) ne comportant pas de couverture ou destinées à rester ouvertes sur l’extérieur. Circulaire du 3 février 2012 ; I 1 1.2, La Notion de clos et couvert : une annexe (abri de jardin, remise, cabanon, etc.) ne développe pas de surface de plancher s’il n’existe pas d’un mur de façade. Circulaire du 3 février 2012, I 1 1.1, La Notion de plancher : le bassin d’une piscine ne développe pas de surface de plancher. Cependant, ces types d’ouvrage